Sur fond de soupçons de conflits d’intérêts, l’exécutif européen entend limiter le pantouflage et éviter que les fonctionnaires de la Commission effectuent des « aller-retours » entre public et privé. Notamment, des ex-fonctionnaires ont intégré des cabinets renommés pour conseiller les Big Tech sur des textes qu’ils ont eux-mêmes rédigés. En mai 2022, le médiateur européen a publié un rapport sur le sujet, considérée comme étant à un « stade critique ».