Dans une étude commandée par le gouvernement, les Sages estiment qu'il serait naturel de désigner la CNIL comme autorité nationale de contrôle des systèmes d'intelligence artificielle, en charge de l'application du règlement européen sur l'IA. Puisque l'IA est incontournable et censée permettre, dans les années à venir, d'améliorer la qualité des services publics, elle doit avoir une autorité de contrôle performante. Selon le Conseil d'État, c'est l'actuelle CNIL qui devrait s'en charger.