Le 14 mars 2024, la CJUE a rendu une décision autorisant les autorités nationales de contrôle en matière de données personnelles (en France, la CNIL) à ordonner l’effacement de ces données lorsqu’elles font l’objet d’un traitement illicite, et ce même en l’absence de demande préalable de la personne à qui se rapportent ces données, peu important la source des données.