La banque suisse a été reconnue coupable par la cour d’appel de Paris de démarchage bancaire illicite et blanchiment de fraude fiscale aggravé commis entre 2004 et 2012. La cour d'appel a certes condamné la banque pour avoir encouragé de riches clients français à frauder le fisc, mais a largement réduit la sanction contre le géant mondial de la gestion de fortune, qui s'était vu infliger en première instance une amende de 4,5 milliards d'euros.