Après comparaison avec 14 autres profils masculins, la cour d’appel de Paris a reconnu l’existence d’une discrimination sexuelle subie par une ancienne salariée de la RATP qui dénonçait un « plafond de verre ». La société parisienne devra verser 290.000 euros de dommages et intérêts pour préjudice économique à la victime, ainsi que 10.000 euros de préjudice moral et 5.000 euros pour violation des accords sur l’égalité professionnelle.