La RATP s’est vue infliger une sanction financière de 400.00 euros part de la CNIL. Des centres de bus indiquaient le nombre de jours de grève des agents dans un fichier des ressources humaines, qui servaient à préparer les avancements de carrière. En outre, la RATP conservait l’ensemble de ces données dans la base active de l’application, accessible à un grand nombre d’agents, pour une durée qui excède celle qui est nécessaire pour accomplir les finalités recherchées.